« Inciter à la consommation comme on le fait de nos jours privilégie le quantitatif au détriment du qualitatif, et contribue à rendre les gens encore plus matérialistes. Autrement dit, on fait d’eux des consommateurs invétérés, toujours enclins à se procurer davantage de biens matériels et à satisfaire des désirs et des besoins de plus en plus artificiels. » (L’utopie rosicrucienne)