« Lorsque l’on considère ce que l’homme a accompli de plus beau et de plus utile dans les sciences, les arts, la littérature, l’architecture, etc., et lorsque l’on songe aux sentiments les plus nobles qu’il est capable d’éprouver et d’exprimer (amour, amitié, compassion, émerveillement, etc.), on ne devrait pas douter qu’il possède en lui quelque chose de divin. » (L’ontologie des Rose-Croix)