« Si le travail est vécu par de nombreuses personnes comme une contrainte, et s’il est pour certaines d’entre elles une source d’avilissement, c’est parce qu’il est devenu le fondement d’une société de plus en plus matérialiste. Au lieu d’évoluer en privilégiant l’être et le qualitatif, il s’est malheureusement développé au profit de l’avoir et du quantitatif. » (L’utopie rosicrucienne)