« Pour que le travail devienne une source d’épanouissement et de bien-être, il est impératif que les sociétés modernes se donnent une orientation humaniste et fassent de la qualité de vie le fondement de l’activité économique. Cela implique que tout citoyen travaille au service du bien commun, dans le respect de l’autre et de l’environnement. Cela suppose également de mettre fin à l’excès de machinisme qui prédomine actuellement. » (L’utopie rosicrucienne)