« Bien que respectables en eux-mêmes, les livres sacrés ne représentent pas la vérité divine, en ce sens que ce n’est pas Dieu Lui-même qui les a écrits, mais des hommes qui, aussi inspirés furent-ils, avaient nécessairement leurs faiblesses, leurs imperfections et leurs limites. Au mieux, ces Livres ne représentent donc qu’une approche humaine de vérités divines. » (Mysticisme rosicrucien)