« Que ce soit sur un plan individuel ou collectif, avoir un enfant n’est une bénédiction que si l’on peut répondre à ses besoins les plus légitimes et le rendre heureux. Dans le cas contraire, il est préférable de s’abstenir de procréer, afin de ne pas accroître le nombre d’enfants et de futurs adultes malheureux. Il s’agit là d’une question de bon sens et de sagesse. » (Mysticisme rosicrucien)