« Le nationalisme, même lorsqu’il ne sert pas de fondement à une idéologie totalitaire, est un vecteur de repli sur soi et souvent de rejet des autres. Qu’ils en aient conscience ou non, tous les êtres humains sont liés par une origine et une destinée communes, de sorte qu’aucune nation, aussi puissante soit-elle, ne peut survivre à long terme sans coopérer avec les autres. » (L’utopie rosicrucienne)