L’homme est enclin à s’interroger sur sa nature profonde et sur les mystères de la vie, ce qui laisse supposer qu’il pressent la présence en lui d’une âme. S’il se limitait à un corps matériel régi uniquement par une conscience cérébrale, il ne se poserait aucune question existentielle et ne serait doué d’aucun sentiment. » (Mysticisme rosicrucien)