« Rappelons-nous que nous n’avons aucun droit à l’égard de notre planète, mais uniquement des devoirs : la respecter, la préserver, la protéger… en un mot : l’aimer »
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[…] Le «plaidoyer rosicrucien pour une écologie spirituelle» se termine par une injonction : « Rappelons-nous cela, rappelons-le à nos enfants, et faisons nôtre cette formule : “Terra humanistasque una sunt” » (Terre et humanité ne font qu’une). Cette phrase de clôture est une invitation à faire connaître ce «plaidoyer» et à appliquer dans notre vie personnelle les principes majeurs qui s’en dégagent. Si vous le faites, vous donnerez l’exemple d’un homme ou d’une femme à la fois spiritualiste, humaniste et écologiste, thème de l’ «Appellatio Fraternitatis», Manifeste que l’A.M.O.R.C. a publié en janvier 2014 et que je vous invite à (re)découvrir. En voici d’ailleurs un court extrait : «Nous pensons qu’il y a urgence à donner une orientation spiritualiste, humaniste et écologiste à nos comportements individuels et collectifs. Mais s’il y avait une priorité à donner ce serait l’écologie. En effet, si l’humanité parvient à résoudre durablement les problèmes économiques et sociaux qui se posent à elle, mais si, parallèlement la Terre est devenue invivable ou difficilement vivable pour la grande majorité de ses habitants, quel intérêt et quel plaisir y aura-t-il à vivre ? Dans ce domaine, ceux et celles qui gouvernent les pays et les nations ont une grande responsabilité en ce sens qu’ils ont le pouvoir de prendre des décisions et de faire en sorte qu’elles soient appliquées. Mais si les peuples se désintéressent de l’écologie et ne font rien à leur niveau pour préserver la nature, il est évident que la situation ne cessera d’empirer et que les générations futures hériteront d’une planète qui ne sera plus que l’ombre de ce qu’elle était.»